Pourquoi la vie sourit-elle à certains dès qu’ils entreprennent quelque chose ? Pourquoi leurs projets sont-ils toujours couronnés de succès ? Vous aimeriez que cela vous arrive également ?
Moi, j’en ai la ferme intention… Réussir une carrière d’écrivain, ça commence par réussir à écrire un texte en entier et à le publier. Nouvelle, novella, roman, cycle ou série, en autoédititon ou par le biais d’une maison d’édition.
C’est une évidence et c’est plus facile à dire qu’à faire… Les étapes et les obstacles peuvent être nombreux. Pour avoir été confronté au syndrome de la page blanche, je sais de quoi je parle.
Une chose est sûre : pour arriver au bout du processus d’écriture et de publication, notre état intérieur et nos compétences sont 2 éléments déterminants. C’est pourquoi j’ai décidé de regrouper sur cette page tous les articles de développement personnel appliqué au cas particulier de l’écrivain.
Croyances limitantes ou dynamisantes, dévalorisation ou confiance, procrastination ou motivation, bloqué devant une page blanche ou saisi par l’inspiration divine… Mais aussi les ouvrages et les formations qui peuvent aider un auteur à devenir meilleur !
Notre état intérieur au service du succès littéraire
Parce que se sentir bien dans ses baskets est une aide précieuse pour réussir ses projets d’écriture. On ne rencontre pas le succès si on n’y croit pas…
En quoi une bonne estime de soi est-elle nécessaire aux écrivains ?
Aussi étonnant que cela paraisse avec le succès mondial de ses romans, Stephen King raconte dans « Écriture » qu’il a longtemps eu honte de ses textes.
« Comment est-ce possible pour un écrivain aussi célèbre ? » demanderez-vous. Parce que King est un humain comme nous, soumis à la force des croyances négatives qu’il avait sur son travail.
Dans cet article, je vais vous parler de l’impact de ces croyances sur nos émotions, notre confiance en nous et notre créativité. LIRE LA SUITE →
Débloquer sa créativité : et si c’était plus facile que vous le pensiez ?
Je voudrais vous présenter un livre de développement personnel écrit par Julia Cameron très utile qui m’a aidé à débloquer progressivement ma créativité pour l’écriture (et dans d’autres domaines de ma vie).
Ce livre propose un programme en 12 semaines pour tous ceux qui ont des difficultés à exprimer leurs talents artistiques et qui veulent retrouver leur artiste intérieur. LIRE LA SUITE →
Concrétisez votre objectif de devenir écrivain grâce à l’autohypnose !
Je vous avais parlé de deux techniques quand j’ai abordé un problème que rencontrent beaucoup d’écrivains, comme Stephen King à ses débuts : le manque de confiance en soi. Le doute de pouvoir écrire et publier un roman, la croyance limitante qu’il est impossible de vivre de son écriture.
Je vais donc vous présenter la première de ces techniques d’autohypnose que j’ai utilisées avec succès pour transformer ma vision de moi-même et ressentir que réussir avec l’écriture est possible. Et même certain ! LIRE LA SUITE →
J’ai dû prendre des mesures radicales pour pouvoir écrire…
Internet, c’est super pour passer le temps si on n’a pas envie de travailler… Ou si écrire nous semble difficile. Ça m’est arrivé alors que je voulais rédiger le synopsis de « Une Cité sous Influences » pour retravailler son scénario sur CoCyclics.
Mais je trouvais cette tâche compliquée, je repoussais le moment de m’y mettre et quand j’y travaillais, j’avais tendance à procrastiner surfer sur internet… Alors j’ai employé une solution radicale… LIRE LA SUITE →
Plus que 6 mois pour écrire avant de mourir…
Dans un passage de son livre « Ce qu’il faut savoir avant de mourir » , John Izzo nous propose d’imaginer qu’il ne nous reste plus que 6 mois à vivre et de lister les 5 choses que nous voulons absolument faire.
Le sentiment mitigé que j’ai eu par rapport à l’écriture a été très révélateur des difficultés que je peux rencontrer… LIRE LA SUITE →
Ecrire avec plaisir et facilité : la technique du lance-pierre émotionnel
Je trouvais ça difficile d’écrire, je mettais trop d’enjeux autour du roman que je travaille dans le cadre du NaNoWriMo. Conséquence : je procrastinais en errant sur internet.
Pour résoudre ça, j’ai utilisé 2 techniques d’autohypnose : celle qui permet de concrétiser l’objectif et celle que je vais vous présenter aujourd’hui, le lance-pierre émotionnel. LIRE LA SUITE →
7 lois très simples pour rencontrer le succèsEn appliquant ces lois très simples, tout le monde peut atteindre ses objectifs (même Kévin 😉 ). Dans sa formation audio, Christian Godefroy dit que le mot C-A-P-A-B-L-E est la clé : ces 7 lettres représentent les 7 lois éternelles du succès.
Laissez-moi vous en présenter 3, appliquées à la pratique de l’écriture ! LIRE LA SUITE →
Nos compétences d’écrivain au service de notre carrière
Parce qu’être bien formé est un atout pour l’auteur indépendant. Cela devrait nous occuper tout au long de notre vie : on n’a jamais fini d’apprendre.
- La formation en blogging que j’ai suivie pour lancer ce blog et ma boutique
- Comment passer de 230 à 700 mots lus par minute ? [formation lecture éclair]
Merci pour ces utiles informations et astuces, cela me donne du grain à moudre pour la fin de l’année… au moment où je m’apprête à me lancer dans l’aventure « manuscrit n°2 » à éditer en numérique d’ici fin mars 2015…
Joyeux Noël!
Bonjour Christine,
Joyeuses fêtes de fin d’année à vous aussi et bon succès à votre manuscrit n°2 😉
A bientôt,
Jérémie
Merci pour ces posts, j’écris depuis l’enfance pourtant je n’ai jamais eu autant de mal a structurer ma pensée ou organiser mes idées que depuis que j’ai décidé d’essayer de tenter d’être publiée (j’ai envie de partager ce que j’écris, ce qui n’était pas le cas avant). J’essaye de construire un roman de fantasy avec une composante fantastique et j’ai trouvé pleins pistes et de conseils utiles ici!
Est-ce que vous avez des conseils pour l’écriture des nouvelles? j’aimerais voir si certains projets que j’ai laissé en plan valent la peine d’être dépoussiérés, merci d’avance =)
Bonjour Liya,
Je suis très content pour toi que tu aies trouvé ici des choses utiles pour tes créations 🙂 Il est vrai que je n’ai pas écrit d’articles spécifiquement consacrés aux nouvelles… Cependant, ce qui est vrai pour les romans peut s’appliquer aussi aux nouvelles : la création d’un monde cohérent même s’il y a moins besoin de le détailler, la psychologie des personnages et le jeu avec les stéréotypes, le conflit pour faire avancer l’intrigue, etc.
Tu peux aussi te rendre sur des forums de bêta-lecture pour avoir des retours sur tes nouvelles, après les avoir « dépoussiérées » comme tu dis 😉
J’espère que ça va te donner plein d’enthousiasme et de motivation !
A bientôt,
Jérémie
Rebonjour,
dans mon cas le principal problème du format de la nouvelle est de trouver le bon équilibre entre ne pas bâcler et ne pas en faire trop pour arriver a la chute. Je n’ai pas l’esprit assez synthétique, je crois.
Sinon au sujet des forums, je suppose que vous avez été ou êtes toujours membre et l’un des intérêts de la chose et de contribuer en lisant les autres : est-ce que cela n’empiète pas sur le temps consacré a l’écriture? On parle de quelle fréquence?
Merci de m’avoir répondu
Bonjour Liya,
Oui, je suis toujours membre de CoCyclics 😉 Au-delà du partage entre auteurs, l’intérêt de bêta-lire les textes des autres est d’apprendre beaucoup de leur écriture, de ce qui fonctionne dans leurs textes et de ce qui fonctionne moins bien, de ce que nous aimerions éviter ou de ce vers quoi nous avons envie de tendre. Pour ma part, j’apprends autant en bêta-lisant, qu’en écrivant ou qu’en étant bêta-lu. Car bien sûr, les retours des autres sont souvent riches d’enseignements. Alors le temps que ça empiète sur l’écriture proprement dite est du temps gagné en qualité d’écriture et en facilité de corrections 😉
Peut-être la bêta-lecture pourrait en partie répondre à ta question (on peut se tutoyer) concernant l’équilibre entre détails et concision pour les nouvelles. Je crois qu’aujourd’hui je ne me pose plus ce genre de question : je mets dans mes nouvelles ce qui doit y être mis, ce que l’histoire requière pour fonctionner. Bien sûr, ce n’est pas parfait du 1er coup, les retours des bêta-lecteurs permettent souvent de mieux doser, de suffisamment expliciter ou au contraire d’éliminer ce qui est superflu et détourne le lecteur de l’essentiel.
A bientôt,
Jérémie
Bien sûr, je vois l’intérêt pédagogique (d’autant que je ne veux pas me faire lire par mes proches) de la chose et ça fait un moment que j’ai envie de m’y essayer, j’ai justement un texte sous la main qui peut servir de cobaye alors j’y vais de ce pas 🙂