Quelle utilité de connaître les 8 types de SF ?

8 sous-genres science-fiction : utilité de les connaître pour l'écrivainComme de nombreux courants musicaux ou littéraires, la science-fiction est divisée en de nombreuses branches.

J’entends d’ici : « Je n’aime pas les cases. » Moi non plus, et pourtant, il peut être très utile pour un auteur de connaître les sous-genres qui composent son type de littérature préférée. « Pourquoi est-ce important ? » me demanderez-vous alors. Je vous explique mon point de vue dans cet article.

Mais avant, laissez-moi vous poser cette question : connaissez-vous les 8 sous-catégories de la science-fiction ?

Quels sont les 8 sous-genres de SF ?

Voici un essai de classification des sous-genres de science-fiction, illustrés de quelques exemples de romans et de films. J’ai volontairement négligé certaines distinctions de spécialistes pour que ça reste digeste pour tous ! Certains considéreront que j’ai omis des catégories importantes, d’autres penseront que j’aurais pu en fusionner certaines… Du coup, le nombre 8 est subjectif, mais toutes les classifications reposent sur des critères arbitraires. Alors n’hésitez pas à me faire part de vos remarques dans les commentaires !

De plus, cette classification sera forcément dépassée un jour car la science-fiction est un genre littéraire en perpétuelle évolution. D’ailleurs, à nous de lui faire pousser de nouvelles branches 😉

Pour chaque sous-genre décrit, vous trouverez des liens qui vous emmèneront :

  • vers la fiche Amazon pour les livres cités,
  • vers la bande-annonce Youtube pour les films,
  • vers l’article Wikipédia pour plus d’infos sur le sous-genre.

 

1. l’Anticipation

Le roman 1984 de George Orwell et le cycle Fondation d’Isaac Asimov ; les films Brazil, Elysium ou Eva dont j’ai fait la chronique…
→ Wikipédia

Les histoires de ce genre se situent dans un futur proche ou lointain. L’auteur essaie d’imaginer ce qu’il pourrait advenir de l’humanité. On y voit parfois, mais pas systématiquement, des utopies (= sociétés paradisiaques) ou des dystopies (= sociétés infernales). On se prend à rêver aux possibilités qui nous seront offertes…

C’est le sous-genre auquel appartiennent mes nouvelles « Alice et le Crédit Solidaire » , « Duplicate Corporation » (parution prévue en septembre) et « Une Cité sous Influences » (octobre).

Elysium, film d'anticipation, sous-genre de la science-fiction

 

2. la Dystopie

Les romans Divergente de Veronica Roth, Fahrenheit 451 de Ray Bradbury et La Zone du Dehors d’Alain Damasio ; le film Bienvenue à Gattaca
→ Wikipédia

La dystopie découle de l’anticipation, mais a fini par être considérée un genre à part entière (oui, c’est subjectif). Les auteurs se projettent dans l’une des pires évolutions qui soit pour l’humanité… Le héros est en lutte contre un système, une société et recherche la liberté et la paix. Le but est de mettre en garde le lectorat par rapport à son présent et aux dérives possibles.

 

3. le Post-apocalypse

La série Toxic de Stéphane Desienne, Le Fléau de Stephen King ; les films L’Armée des 12 Singes et Oblivion
→ Wikipédia

Les écrivains placent leurs personnages dans des mondes où la civilisation humaine telle qu’on la connaît a été détruite. Par un virus, des extra-terrestres, les 2 (comme dans Toxic), une guerre, la destruction de l’environnement, un astéroïde, etc. On peut dire que le post-apo est une branche extrême de la dystopie. De plus, on frôle quelques fois le genre de l’horreur. Les thèmes sont la survie ou la reconstruction d’une société sur de nouvelles bases, avec parfois la critique de l’ancien modèle (l’actuel pour nous !). C’est la fin d’un monde et un nouveau départ (ou dans certains récits, la fin définitive).

C’est dans ce genre d’univers que prenait place ma nouvelle « CO 78 » qui reste pour l’instant à mûrir dans un coin de ma tête.

tokyo post-apocalypse, sous-genre de SF

 

4. la Hard-science ou Hard SF

La trilogie Spin de R.C. Wilson, Le Chasseur et son Ombre de George R.R. Martin ; le film E.T. l’extra-terrestre de Steven Spielberg (nostalgie !) ou plus récemment District 9
→ Wikipédia

Littéralement, la science dure… Ces récits se passent dans des mondes présents ou futurs qui ne sont pas en contradiction avec notre présent et nos connaissances. La crédibilité scientifique et la richesse des détails sont de mise et certains éléments inventés seront au cœur de l’intrigue (l’arche des Hypothétiques dans Spin, par exemple).
Parfois très axés sur les aspects technologiques, parfois davantage sur la dimension psychologique et relationnelle des personnages, il existe une grande diversité de romans dans ce sous-genre (en tout cas, j’en ai lu beaucoup 😉 ).

 

5. le Space-opera et le Planet-opera

La trilogie Les Guerriers du silence de Pierre Bordage, Les Cantos d’Hypérion de Dan Simmons ; les films Star Wars et Avatar
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L’histoire se déroule sur une exoplanète à explorer ou à travers plusieurs planètes. C’est un cadre idéal pour l’aventure épique ou pour s’intéresser aux aspects sociaux, politiques et culturels de sociétés humaines placées dans un autre contexte, le plus souvent « exotique » .

exoplanètes habitables, planet-opera et space-opera en SF

 

6. l’Uchronie

Les romans Julian de R.C. Wilson et Le Déchronologue de Stéphane Beauverger, les Chroniques d’Alvin le Faiseur de O.S. Card (limite avec la fantasy)… mais aussi le recueil de nouvelles Divergences 001 dont j’ai fait la chronique. Et l’excellente comédie anglaise Il était temps.
→ Wikipédia

L’uchronie est littéralement « un temps qui n’existe pas » . Soit une version différente de notre présent, basé sur une divergence, parfois infime, dans la chaîne des évènements passés. Soit un passé différent qui n’a pas existé, revisité par l’auteur en imaginant d’autres alternatives historiques. Et parfois viennent s’y ajouter des voyages dans le temps qui modifient la trajectoire connue de l’Histoire.

Ma nouvelle « Un Fils Inattendu » appartient à cette catégorie de SF.

 

7. le Steampunk

Le roman L’Instinct de l’Équarisseur de Thomas Day ; le film La Cité des Enfants Perdus de Jean-Pierre Jeunet…
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Il s’agit d’une sous-catégorie de l’uchronie où notre société occidentale n’a pas suivi le développement technologique qu’on lui connaît et est restée bloquée au stade du XIXe siècle, avec les moteurs à vapeur (d’où le terme anglais Steam = vapeur). Sous-genre parfois assaisonné d’un soupçon de magie.

steampunk, sous-genre de la science-fiction

 

8. le Cyberpunk

Les romans Blade Runner de Philip K. Dick et Les Racines du Mal de Maurice G. Dantec ; le manga Ghost in the Shell et le film Matrix
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L’univers du cyberpunk est une société où la technologie et l’informatique occupent une place omniprésente et « engloutissent » un peu les hommes… Le 1er point apparente le cyberpunk à de la Hard-SF tandis que le 2e le rapproche de la dystopie, surtout quand les univers développés sont lugubres et violents. Typiquement, on imagine des hackers branchés 24h/24 sur le réseau internet grâce à des connexions neurales, ou alors l’omni-présence des robots et d’intelligences artificielles dans notre quotidien. L’un des buts est parfois d’alerter sur les dérives et les dangers du tout technologique.

Consulter le dossier du Cafard Cosmique sur le Cyberpunk.

 

Bien évidemment, dans un même roman, il peut y avoir un mélange de ces genres, sans que l’un d’eux ne domine vraiment, voire un mélange avec de la fantasy (Les Chroniques d’Alvin le Faiseur, d’O.S. Card) ou du fantastique (Du Sel sous les Paupières, de Thomas Day). Sans compter que la plupart de ces récits dans des univers imaginaires sont en fait des thrillers, des westerns, des romances, etc. Heureusement, les auteurs ne brident pas leur créativité pour correspondre à des définitions 😉

Il y a aussi des textes qui sont inclassables, car ils n’appartiennent pas vraiment à une catégorie définie… C’est le cas de ma nouvelle « Grain de Sable » , je ne sais pas trop s’il faut la ranger en Uchronie ou en Hard SF (je n’en dis pas plus pour ceux qui ne l’ont pas lue), mais dans le fond, peu importent les cases, c’est le plaisir du lecteur qui compte 😉

 

Dans l’acronyme SFFF, il y a 2 autres F en plus de SF. Pour ceux qui ne le sauraient pas, il s’agit de la Fantasy et du Fantastique. Voici une brève définition de ces 2 genres :

Les histoires de Fantasy se déroulent partiellement ou entièrement dans un monde différent de celui que nous connaissons, avec des éléments surnaturels souvent explicables par la magie et pleinement intégrés à l’univers de l’histoire. Elle est, comme la science-fiction, divisée en de nombreux sous-genres. En voici un aperçu : Low, Dark, High et Heroic Fantasy, la Fantasy animalière, mythique et urbaine, la Bit-Lit, l’Uchronie de Fantasy et la Science-Fantasy…

Le célèbre Seigneur des Anneaux de Tolkien ou la saga Harry Potter
→ Wikipédia

 

Les histoires de Fantastique se déroulent dans un monde connu, dans lequel surgissent un ou des éléments surnaturels inexpliqués (même s’ils sont potentiellement explicables). Ils suscitent souvent de la tension, de la peur, voire de l’horreur à cause de leur caractère impossible.
Ma nouvelle « Les Enfants d’Aapep » fait partie du fantastique.

Les romans Frankenstein de Mary Shelley et La Métamorphose de Franz Kafka, nombre de livres de Stephen King et films actuels…
→ Wikipédia

 

Quelle est utilité de connaître toutes ces catégories pour l’auteur de SF ?

Je vous l’ai dit dans l’introduction et j’en parle dans mon cours en 8 points pour (re)trouver l’inspiration : pour moi, la créativité et l’inspiration grandissent et se nourrissent en voyant ce qui se fait ailleurs ou en découvrant la façon dont les autres traitent un sous-genre littéraire que l’on pratique. Ça a la double vertu d’enrichir notre imaginaire et de casser nos limitations : « si lui, il fait comme ça, alors pourquoi pas moi ? » Ces lectures nous fournissent de nouveaux horizons à explorer, elles élargissent ainsi notre terrain de jeux 😉

Je vous conseille donc de dévorer ce que font les autres ! Un bon auteur est un auteur qui lit beaucoup. D’ailleurs, si vous voulez pouvoir lire davantage, je vous invite à découvrir mon avis sur cette formation qui m’a permis de presque tripler ma vitesse de lecture ! En effet, je suppose que comme moi, vos journées ne sont pas extensibles à l’infini… Lire plus vite est donc un avantage indéniable.

Mais attention de ne pas tomber dans une attitude extrême comme je l’ai fait : à une époque, la lecture était une fuite pour éviter d’écrire ! Je procrastinais, avec pour excuse de stimuler mon imagination…

 

Vous l’aurez donc compris, je lis beaucoup…Ça nourrit mon imaginaire et ça a de l’effet sur ce que j’écris.

Par exemple, j’avais lu très peu d’uchronies ( « Ceux qui sauront » et « Mysterium » ) et c’est le fait de me plonger récemment dans le recueil de nouvelles « Divergences 001 » qui m’a motivé à en écrire. C’est pour ça que j’ai ressorti l’embryon de mon texte « Un Fils Inattendu » et que je l’ai grandement développé et amélioré.

Je sais que je pourrais également me pencher sur le steampunk : je n’en ai presque jamais lu (à part des extraits de roman en bêta-lecture sur CoCyclics), et je pourrais peut-être apprécier d’en écrire.

C’est tout le contraire de la hard-science et du space-opera : ils ont nourri mes jeunes années et ont donné leur thème et leur univers à la plupart de mes écrits publiés ou en travaux.

 

Et vous, y a-t-il des types de SF que vous ne connaissiez pas ou peu et qui pourraient vous inspirer ?

13 réflexions au sujet de “Quelle utilité de connaître les 8 types de SF ?”

  1. Bonjour Jérémie,
    Ton article est intéressant. il a le mérité de brosser simplement un tableau de ce qui fait partie du domaine de la SF et évitera à certains de rentrer dans un tas de complications proposés par les spécialistes, comme tu le dis. Ils gagneront beaucoup de temps en te lisant et auront peut-être la curiosité d’aller lire quelques-unes des oeuvres que tu cites.
    Pour ma part, pendant longtemps, je ne me suis jamais intéressé à la SF et je n’ai presque rien lu, à part Jules Verne, dans ma jeunesse. Les films, mieux vaut ne pas en parler. La simple évocation du genre SF m’empêchait de les regarder, à part E.T. et Rencontres du troisième type (ce dernier m’ayant fortement marqué…). Je crois que je n’ai rien vu d’autre !
    Pourtant, récemment, en lisant des articles d’actualité sur les robots, j’ai eu l’idée de rédiger quelques nouvelles mettant en scène des robots ! J’ai presque été découragé par quelques rares bêtas lecteurs (de Cocyclic) avec en plus la difficulté de ne pas parvenir à faire évoluer mes écrits ensuite !
    Je pense que ces nouvelles se situent dans « l’anticipation », car mes personnages évoluent dans un avenir proche ou alors dans ce que j’appellerai « la real fiction » (peut-être un nouveau sous-genre ? Bien que sous l’appellation « realistic fiction » les américains englobent autre chose).
    C’est vrai, comme tu le dis que parfois les frontières entre les sous genres ne sont pas évidentes ! Dans les sous-genres que tu cites, certains me paraissent un peu « usés » ou, disons, tellement utilisés, qu’il doit être difficile, à mon avis, d’intéresser des lecteurs d’aujourd’hui, où alors, il faut recourir à d’autres procédés, comme l’humour. Je pense au « Steampunk » et au « Post-apocalypse ». D’autres, comme la Hard-science (Hard SF) et l’Uchronie, bien que plutôt difficiles à pratiquer, offrent aujourd’hui beaucoup de possibilités. La Hard SF suppose qu’on maitrise bien « les concepts scientifiques » employés et qu’ils soient bien utilisés dans l’histoire qu’on raconte. L’uchronie revient très à la mode dans les médias notamment (célébration première guerre mondiale, napoléon, etc…). Mais un écueil consiste à s’inspirer de trop près des faits réels historiques ou a apporter des modifications pas assez crédibles.
    Voilà. Comme tu dis, « c’est un terrain de jeu intéressant », mais ce n’est pas facile de réussir à attirer des lecteurs sur des histoires de SF, à mon avis.
    Cordialement.
    ESPER.

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    • Bonjour ESPER,
      Merci pour ton long message 😉
      Il est vrai qu’intéresser les gens à une science-fiction qui sort des sentiers battus n’est pas toujours évident, j’ai l’impression qu’il y a pas mal d’a priori sur ce genre. La dystopie a la côte, notamment avec des livres/films comme Divergente. Par contre, même si l’on en voit beaucoup au cinéma en ce moment, je n’aurais pas qualifié le post-apocalypse de « usé ». D’autant que certains auteurs font vraiment preuve d’originalité, je pense à Stéphane Desienne avec Toxic (je viens de finir la saison 1, je vais maintenant devoir attendre… :-/ ). La fin du monde est quelque chose qui passionne (peut-être à cause du calendrier maya ^^ ), entre les virus-zombies et les dérèglements climatiques extrêmes…

      Tu mentionnes Jules Verne, le film « 20 000 lieux sous les mers » m’avait fasciné quand j’étais gamin ! Je n’ai par contre rien lu de lui. Il est l’un des premiers auteurs modernes à vraiment entrer dans la science-fiction, j’avais d’ailleurs trouver cette image en cherchant des illustrations sur internet pour cet article :
      Jules Verne dans l'histoire de la science-fiction
      Même si bien avant lui, Platon avait déjà imaginé une sorte d’uchronie afin de critiquer sa société contemporaine : l’Atlantide 😉

      Pour la Hard-SF, je ne me sens pas trop les compétences de m’engager dans des univers trop techniques car mon niveau en sciences a pas mal baissé depuis que j’ai fini mes études (écologie) et comme je ne mobilise plus ces connaissances, je les oublie… De plus, c’est un domaine qui nous distance vite si on ne se documente pas régulièrement.

      Courage pour tes nouvelles sur les robots, c’est en persévérant que tu obtiendras des résultats (c’est vrai que les bêtas sur Cocyclics sont parfois sans concession, mais il est possible de les prendre comme de supers occasions d’améliorer son texte, comme des challenges !).

      A bientôt,
      Jérémie

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      • Je viens de tomber sur la carte complète de l’histoire de la SF d’où est tirée l’image ci-dessus, c’est vraiment intéressant de s’y promener !
        Voici le lien.

  2. Hello Jérémie,
    Merci pour ton article très intéressant car synthétique.
    De mon côté je m’aperçois que je suis plutôt anticipation (je viens de finir Asimov Fondation et wouah) et aussi très Cyberpunk (le film Matrix a changé ma vision du cinéma et de la science fiction. Et puis la semaine dernière j’ai lu un recueil de nouvelles de Dick et ça m’a vraiment plu. Je ne pensais pas que des films que j’avais adorés, étaient inspirés de ses nouvelles). Bref j’ai enfin pu mettre une claque à ma PAL (enfin pas aussi grande que je l’aurais voulu la claque mais quand même…).
    Merci aussi de m’avoir conseillé CoCyclics, c’est vraiment une super plateforme. Pour l’instant je me contente de bêta-lire et quand j’aurai l’impression d’avoir écrit quelque chose de pas trop mal, j’aurai peut-être le courage de le livrer aux fouets de la mare… 😉
    Bonnes vacances

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    • Bonjour ELEA,
      Cool que tu te sois inscris sur Cocyclics, n’hésite pas à poster même si ce n’est pas très abouti : précise que c’est la première fois que tu postes, les membres sont bienveillants 🙂 Si tu veux, envoie-moi un mp pour me prévenir que tu as mis quelque chose en bêta (mon pseudo est mon prénom : Jérémie).
      Très sincèrement, les échanges sur Cocyclics m’ont énormément fait progresser, je le mesure aujourd’hui quand je reprends des textes que j’ai commencé il y a plusieurs mois, je vois la différence 😀 Tout ça pour t’inviter à te lancer dès que tu le sentiras !

      Pour en revenir au sujet de l’article, je crois que c’est le cas de beaucoup de gens de ne pas savoir que certains films de science-fiction sont tirées de roman ou de nouvelle. Le cas de Philip K. Dick est frappant : Blade Runner, Minority Report, Total Recall… Il y a aussi « I, Robot » inspiré des œuvres d’Isaac Asimov sur les robots.
      A bientôt !
      Jérémie

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  3. Super intéressant !

    Je suis novice dans le domaine de la science-fiction, et je dois avouer que ce n’est pas mon genre.
    Pour autant, j’apprécie beaucoup de connaître les « dessous » de ce genre littéraire, et de ses branches.
    Très instructif, ça me resservira.

    A bientôt,
    Fred

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    • Hello Fred !
      Content que cet article t’ait plu 🙂 Il est effectivement plutôt généraliste et à destination d’un public qui n’est pas expert en SF. J’espère que tu découvriras des ouvrages qui te plairont.
      Peut-être plus tard, je consacrerai un article détaillé à chacun de ces sous-genres littéraires. Ce sera d’abord intéressant pour moi de les explorer plus en profondeur (leur apparition, leurs auteurs et les textes fondateurs, les évolutions, etc.).
      A bientôt,
      Jérémie

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  4. Bonjour Jérémie, et merci pour cet article très clair qui me servira pour la base d’un prochain sujet. Je viens tout juste de me lancer dans le blogging sur la SF et l’Anticipation, et je vais suivre ton blog et ton compte Twitter de près !

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  5. Bonjour !
    Merci pour votre article 🙂
    Je suis étudiante en FLE et dois réaliser une leçon ayant comme thème la SF que j’adore. Je souhaiterais avoir des références proposant des contenus scientifiques sur la science fiction (en bref la théorie)…pas facile de trouver en bibliothèque ! J’ai trouvé ds la collection Séquences l’ouvrage intitulé « La science-fiction, vade-mecum du professeur de français, de Karl Canval, ed Hatier, mais il me faudrait d’autres références. Pouvez-vous m’aider svp?
    Merci beaucoup

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